Si sa première exploitation fut un terrain planté en bananes à Sainte-Marie, Jean-Hugues Glombard se démarqua rapidement des producteurs de l’époque, optant pour le modèle plus résilient de la diversification (fruitier, maraîcher, élevage).
Il se détourna tout aussi vite de l’agriculture conventionnelle, avec ses cahiers des charges de produits phytosanitaires, au profit de l’agriculture raisonnée, « une agriculture en symbiose avec la nature et ses règles ».
Au-delà des pratiques agricoles, intuitivement, il tend depuis vers la permaculture : le respect du vivant, le travail en synergie, l’élaboration d’une vision globale à long-terme, l’interaction, l’équité sociale et, le partage de connaissances.
Voir la suite de l'article ICI